RENCONTRE : « Watch Time Influence You ? » est une rencontre d’été de Job Watch avec des influenceurs. Eleonor Picciotto est l’une d’elles. En 4 questions, elle parle de sa passion horlogère, de montres – les siennes – et de son rapport au temps pour Job Watch.

Comment présenter Eleonor ? Par ses “touch point digitaux” ! Retrouvez-la sur son Instagram @ElePitch ou sur Revolution.watch, mais aussi dans le Figaro si vous êtes plutôt presse traditionnelle. Elle est une pimpante influenceuse joaillerie et horlogerie, journaliste avertie et créatrice du magazine digital et marketplace joaillière “The Eye of Jewelry“. J’ai découvert une baroudeuse chic et choc de luxe, passionnée par la vie, avec un œil (son logo) très pointu et malicieux. Elle décrypte l’horlogerie comme personne (et presque depuis le berceau) avec un triple point de vue stylistique, marché et tendance ! Eleonor Picciotto répond aux questions de Job Watch ci-dessous.

Eleonor, ton rapport au temps?

[Eleonor Picciotto]: Passionnel et intense… Car je n’ai jamais assez d’heures dans une journée pour faire ce que je veux faire. Je pars du principe que tout peut basculer d’une minute à l’autre, donc il faut profiter du temps que l’on a pour faire le maximum de choses que l’on puisse.

 

Quelles sont tes marques favorites?

Je n’ai pas de marques favorites… D’abord parce que je ne sais pas choisir en bonne Balance que je suis… Je parle du signe astrologique bien sûr. Ensuite, parce que je trouve que tout n’est pas à prendre dans une marque. J’ai des choix parfois éclectiques mais toujours assumés. Je peux aimer une Golden Ellipse vintage de Patek Philippe comme une Baignoire Cuff de Cartier en passant par une Elégante de François-Paul Journe, une Snoopy Bamford, une Octofinissimo de Bulgari ou une Freak de chez Ulysse Nardin. Les complications poétiques de chez VCA me fascinent, le choix des pierres et le sertissage des pièces de Jacob & Co. me subjuguent. Les cadrans de Kari Voutilainen me font rêver comme l’utilisation des différents métiers d’art chez Piaget ou Chanel m’hypnotisent.

Deux des montres d'Eléonor Picciotto

Les premières montres d’Eleonor Picciotto.

Ta première montre?

Ma première montre, une Flik Flak comme toute petite fille qui se respecte. Ma première « vraie » montre m’a été offerte par mon père, c’était une petite must de Cartier ronde en vermeil avec l’iconique chemin de fer et chiffres romains dans le cadran qui date de l’année de ma naissance. Et la première que je me suis offerte était une Bvlgari Serpenti en céramique blanche avec des inserts en or rose (photo ci-dessus).

 

La montre de tes rêves (si elle existe)?

Il y en a deux : une Tank Folle de chez Cartier, sortie en 2001 et limitée à 200 exemplaires. Et une Audemars Piguet Royal Oak Frosted Gold… N’importe laquelle, sans complication. C’est la quintessence de la féminité et ce, sans sertissage de pierres !

Propos recueillis par Alexis de Prévoisin – Communication manager et Business consultant retail, spécialiste expérience client (auteur de Retail Émotions).